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sentir

2 mars 2009

J’imagine un baiser échangé des temps

J’imagine un baiser échangé des temps, dans mes moments de tristesse comme mes moments de bonheur qui a toi maintenant.
Je pensais avec tendresse que mon cœur si libre tu arrives, c'est tout ma confiance en envers toi tu n'a pas démérité, tu vas y faire un ange avec ton âme.
Et ton cœur je porterais pour mieux t'apprendre et à partager le bonheur a l’aube des départs.
Je suis seul dans le noir avec pour peur de page blanche et un crayon sens encre, je suis bien imprudent, je me le dis, surtout que depuis tu ne m'as adressé qui par tes raisons inconnue sèche tes pleurs.
Tiens c'est toi je me suis demandé qui frappait la,  et loin de songer,  tu me comprendras au plus doux et délicat qu’un voile de soie, tu sera belle et empile de bonheur comme avant les départs.
Prends soin de toi préserve moi Sentir et dis moi que quoi qu’il arrive je te penserai et n’oublie pas tu y retrouveras tes robes, des temps difficile mais l'instant conte ma jolie et le temps d’une création j'écrirais un dernier poème.
Sais pour te dire que j't’Aime, non, je ne perds pas la raison juste faisant oublier les souffrances du passé ca me donnant un espoir, à un demain de joie.
Et des doux baiser sera somptueux et spécialement apprécié de moi, nous verrons des aurores sous un soleil d'argent, sans crépuscules d'or dans un ciel.
Embrasé, pour braver à nouveau les flots impétueux qui nous entendrons avec les vents qui gonfleront nos voiles, ils rugiront si fort qu'ils nous en feront peur.
Et je tien a te faire crées du vend ce temps un sourire, fous de rires pour partager nos peur ma jolie.
Partagés le reste de nos plumes de styles mélangés sur papier pour former tes mots l'une perdue me blanchira a l'horizon de ma vie pour la clarté car cette douce tempête me possède.
Mon et ton cœur qui malgré notre douleur nous fait sourire dans quelques temps tu seras la  a haut tête dans les nuages avec comme souvenirs de belles images de Sentir.
Tant que j'ai de toi aussi et laissées en scellées sous mon nom en m’ayant enivré de ton parfum, l’amour refait sur face est cette sensation d’être en vie, car je désespéré vraiment a la même place pour revoir, sans me prévenir des prochain retour.
Tu d'ébarques, insouciante juste pour voir ou juste jettes un coup doeuil ou peut-être venir Sentir, et même sans savoir que tu vas juste imaginer.
Parfois, mon ombre sur le mur où je plaçais très souvent, mes regard aux ami(es), si tu le veux, reprenons allons vers où l'on est des le départ ou y'a le calme qui reviendra nous, ainsi que les étoiles y serrons aussi.
Et que nous les regarderons d'un air très admirateur nous franchirons encore des continents et des paradis perdus.
Juste dans nos tête, mettons, fin à l'escale et quittons le rivage allons sur terre il y a moi et le cœur lourd en pensant à certains qu’un jour ce poursuivra l’aventure à grand pas mais, le plus difficile, c'est le plus dur au début.
Alors que toute notre existence est, pour finir les mots de la fin qui caches que je me manifeste en son âme de la douceur a l'existant, l’hiver de nos coeur moi ou tu vas entrer passer tes journées à méditer pour la sagesse et la paix qui faisant espéré au passé et qu’un jour les fleurs pourra fleurir.
Car c’est délicat son bonheur, dans les mains d’une autre devenant nos malheurs non esprit divague dans cette illusion, qui paisiblement vas me inondée les pensés et mes émotions instant dans vallées prisonnier de temps noir.
Et je me semblait entendre, du moins, je le présume comme un cri déchirant et sublime la voix du passé oui j'ai durant ces quelques jours été sauvages en ce mondes.
Inconnus, nous passerons les mots et les élancés, survolerons les gouffres aux abîmes sans découvrir la grandeur de sont sols très déserts où le sable est si fin.
Allez, n'hésite plus allons retrouver ce temps si merveilleux mettons fin à l'escale et quittons le rivage pas une journée de pluie, seule avec çà lettre, pas même un simple mot que j'ai oublié pour me réconforter et me dire que, peut-être, un jour tu reviendra.
Ou faut-il que je sois pour braver à nouveau les flots je ne m'attendais plus à te voir qui croyant, tout là-bas dans ce lointain rivages où tu disais partir, pour que tu puisses, tout-à-coup, surgir de la sorte, en désignant notre cœur non, je n'ai point touché à toutes c'est reliques.
Objets qui me reste encore la a la même place c'est comme l'oreiller froid de tes plumes mes en murmuraient tes prénom à mi-voix, me reviens dans le grand où tu aimais, un extrait du fond du coeur près de l'être où qui a mi les bûches qui brûlent en crépitant très bien toi, installe en moi et quand à moi, je vais voir si toute et super est prêt, attend moi un instant.
Car par eux, je me sentais dans les moments critiques, comme un reste de présence parmi le mobilier, comme par une simple face de l'ai bête tu me faisant frissonner tout mon cœur qui ce blessé au fur et a me'sur, mais la vie me laissera-t-elle cette trêve, de vivre réellement ce merveilleux rêve par une simple rêves, ou pensé des mot en or.
Je te trouve là avec ta valise à la main, par quel heureux hasard il parais que sous toute çà il y a moi qui me fait drôle.
En fait, que tu sois devant moi j'ai bien roc'hé durant c'est jours la.  car toi sans ton silence pour ton prochain, insouciante que tu et même sans avoir de questions soudaines pour que mon esprit m’offre pour toujours que amour m'ait qui me fait tourner la tête, mais juste pour voir en arrière.
Pour ne pas resté là à tenir les amour par la tendresse et la délicatesse arrivant d'un manque à me faire oublier ma détresse vers les grand temps en couleur de qui sais.

                                                                                                                        De: Sentir(Alain)

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1 mars 2009

Donne moi un bout de ta terre

Donne moi un bout de ta terre, laissez moi chanté dans tes champs criée le parfum des tes fleurs, laissons le vent sémélé, ce déchainée dans c'est chênes. Laissons nos larmes en pluie, pour nourrir nos jardins de couleur, je t'ai donné ma moitié pour l'amour de mes rêves. Tu ma fait rêver de l'été a l'année, tu ma même fait sourir sous la pluie. On n'a regardé les fleurs poussé, on leur a criée de s'aimer ils lont fait ils on mi des couleurs, dans nos jardins de fleurs qui pousse pour nous deux. On vas crées des grands jardins en couleur, y'aura du vert partout toute les couleurs par dessu, du ciel bleu y'aura même des étoiles, toujours le soir un peut plus bas, nous deux amoureux au coté de nos rivières d'eau clair qui déverse dans nos jardins de bonheur. On y'ajoutera des bancs un peut partout pour les gens en amour qui viendront déposer leurs histoire ici,  ici c'est remplie d'esprie amoureux qui veilleront sur eux, pour les rendre un peut plus heureux. Amoureux en même temps, ici't j'ai le droit de chanté ma jois, criée le bonheur de vous dire que je l'aime encore. Même un peut plus fort, que tout c'est jardins elle sais aussi qui y aura pluie, je lèverais les vents. Elle, elle choquera les arbres moi j'irais jusqu'à plier les fleurs en deux, sens les brisé ils aurons juste peur de ne pas être aimer ou contre cassé quand on leur donnera de l'eau ils oublieront. Ils ne save pas aussi ce n'est que dans sont passage et comme nous on n'a déjà vécu on n'a sue que ce n'est qu'avec le temps qu'on n'a bâtie toutes c'est jardins. Laissez vous porté par l'amour, elle vous guidera au plus profond des nos jardins, qu'on ce donne toute un bout d'la terre laissons chanté toute c'est gens dans tes champs. Criée le parfum mélanger les odeurs et en faire de tes fleurs, laissons le vent sémélé et ce déchaine dans c'est chênes. Laissons nos larmes en pluie pour nourrir les rivière qui eux à leur tour, ce déverse peut à peut dans nos jardins de couleur. Et il y aura une place pour vous deux, n'oubliez pas d'aporté vos fleurs j'ai un banc pour vous, pour discrètement vous dire J't'aime

                                                                                                            De: Sentir-(Alain)

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  • Donne moi un bout de ta terre, laissez moi chanté dans tes champs criée le parfum des tes fleurs, laissons le vent sémélé, ce déchainée dans c'est chênes. Laissons nos larmes en pluie, pour nourrir nos jardins de couleur, je t'ai donné ma moitié pour l'amo
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